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 Le vent dans mes crins... [Libre]

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Sujet: Le vent dans mes crins... [Libre]   

Le vent dans mes crins...

Le vent dans mes crins... [Libre] Campo011





Je venais à peine d'arriver. Le vent soufflait dans mes crins tel le souffle des Dieux, chaud, paisible. Le ciel était rosé par la lumière du soleil couchant, pourtant d'un bleu azuré par endroits. Je pouvais appercevoir des zones plus foncées, d'un bleu presque noir. Les nuages courraient, noirs, et moi, je galopais. Vers où ? Aucune idée. Je galopais, le nez au vent, défiant les nuages, défiant les astres. Je galopais, aussi vite que mes jambes me le permettaient. Mais, sans le savoir, je me dirigeais vers la Butte des Titans. quelques cris d'oiseaux perçaient le silence tel des lâmes, cassant le silence tel les vagues cassent la mer. Mais moi, je galopais, toujours et encore. Quoi ? Regarder devant moi ? Je dirigeai mon regard vers l'endroit où j'allais, filant comme le vent. Je vis tout d'abord une Butte. Quoi de spécial à première vue ? Rien. Vraiment une Butte ordinaire. Mais, au fur et à mesure que je m'approchais, je constatai avec effrois que cette Butte était immence. Prenant mon elan, je grimpai au sommet. Le vent avait doubler de force mais je ne bougeai pas, attendant. Quoi ? Je ne sais pas.

Je contemplais maintenant depuis déjà bien longtemps le soleil couchant, tel une boule de feu qui s'immerge dans la mer. Je me couchai au somment de la Butte, songeant à mon passé. Quel passé ? Je songeais à mes parent morts depuis bien longtemps. Comment ? Je n'en ai aucune idée. Ils ont disparut. Des larmes cristallines me montèrent aux yeux. Pourquoi songer aux miens me faisaient si mal ? Maintenant, je n'avais plus besoin d'eux. Je me ferais de nombreux amis. Un seducteur comme moi aura vite fait de trouver des juments.
Encore faut-il trouver le troupeau...
Mais, maintenant, je devais vivre l'instant présent et ne pas repenser au passé ni échafauder mon futur.
Cela viendra bien assez vite...
Futur, je t'attend !
Le vent dans mes crins... [Libre] EmptySam 17 Avr - 3:56
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Kywin [Chronos]

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    Écoute-moi, bon sang.
Kywin [Chronos]
Puf : Kywin & KiwiLeila Naissance : 24/09/1993 Messages : 603

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Sujet: Re: Le vent dans mes crins... [Libre]   

[ Superbe Oo ]

    Vitesse ! Vent ! Couleurs chatoyantes se mêlant dans un flou irréel ! Je filais à toute allure vers le sol, fonçant de toute la vitesse dont j'étais capable. Je plongeais, tombais comme une pierre vers ce que je devinais être de l'herbe, là, en bas. Pour l'instant le sol restait assez imprécis, presque flou, mais je savais qu'il était là. De plus en plus près. Je me dirigeais tout droit vers lui, suspendu entre ciel et terre mais me rapprochant de plus en plus de cette dernière. Je n'avais aucun support, rien à quoi me retenir, perdu entre les nuages, fouetté par le vent, à le merci des cieux. Nul ne pourrait me sauver, nul ne pouvait me retenir, m'empêcher de filer comme une flèche vers l'herbe verte. Ma vitesse était telle que j'avais la sensation d'être brûlé par le vent, soudain glacial. Et pourtant, mes yeux demeuraient capables de distinguer mon environnement lointain, bien que le proche - quelques mètres - soit devenu assez flou. Mes yeux étaient conçus pour ça - voir loin, avec précision, et ce peu importe l'allure à laquelle j'allais, peu importe avec quelle force le vent soufflait.

    C'était dangereux, c'était affreusement dangereux. Le moindre mouvement déplacé, et le vent me briserait comme un fétu de paille, réduisant mes os fragiles en miettes. Ce seraient d'abord mes ailes, qui seraient tiraillées, arrachées, fracassées, puis le reste de mon corps qui partirait en vrille. Dans une vrille folle, sans autre finalité que la mort, la chute ultime qui m'emporterait vers le sommeil éternel... C'était dangereux, c'était grisant. L'adrénaline excitait mon corps, de plus en plus à mesure que l'impact semblait inévitable. Cependant, une partie de moi restait calme, concentrée, une partie encore de mon esprit restait clair et glacial. Je tombais mais je n'allais pas tomber. Je chutais mais je n'allais pas m'écraser. Je risquais ma vie, mais en fait pas tant que ça.

    A l'ultime seconde - je voulais profiter de chacun des instants précieux que m'offrait ce vertigineux piqué - je me redressais, sans pour autant déployer mes ailes. Le vent les aurait brisées. Non, je me redressais en inclinant tout mon corps vers le ciel, écartant un peu mes ailes et mes plumes. Je ne ralentis pas, pas d'un seul m/s, mais je déviais complètement de trajectoire. Juste à temps. Je frôlais le sol - je sentis l'herbe contre mon ventre. Je frôlais le sol et je fonçais toujours, comme un boulet de canon, droit devant. J'eus alors l'occasion d'admirer un magnifique coucher de soleil. On eût dit une boule de flammes rouges qui s'abîmait dans le lointain. C'était magnifique mais cela signifiait aussi que la nuit était là, toute proche... et je suis un oiseau diurne, moi. Enfin, cela n'a pas d'importance...

    Je remontais en vrille vers les nuages, d'une couleur sombre, annonciatrice d'orages et de pluies. Ma vitesse décrût enfin, et j'osais enfin déployer mes ailes pour m'arrêter tout à fait. A ce moment je vis un étalon gris pommelé. Il n'était pas loin de moi, et devait sans doute me regarder. Il était seul. Je virais de l'aile, me rapprochant de lui, l'étudiant, le scrutant de mes yeux noirs, un sourire moqueur dans le regard.
Le vent dans mes crins... [Libre] EmptySam 17 Avr - 4:13
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Sujet: Re: Le vent dans mes crins... [Libre]   

Le vent soufflait fort, sifflant. Cependant, mes oreilles perçurent un bruit étrange. Comme un sifflement dût à une chose, un corps allant très très vite. Qu'était-ce ? Un oiseau, noir. Un cordeau, surment. Il piquait, droit vers le sol, d'une vitesse atteignant des sommets. Je me demandai s'il n'allait pas s'écraser. Mais non, il redressa, au dernier moment, comme un chef dirige son avion, il dirigeait son corps. Le vent ne semblait n'avoir aucune importance pour lui. Fragil et fort à la fois, l'oiseau déploya ses ailes lorsqu'il fu à quelques mètres de moi. Soudain, il sembla m'avoir remarqué. Il vira alors et me scruta de ses yeux noirs, noirs comme les miens. Je le regardait aussi, le défiant, comme je défiait qui quonque, que ce soit du vivant, des astres ou des éléments. Ce n'était pas ce corbeau qui allait me faire peur. Non, pas un simple oiseau noir. Je ne suis pas supersticieux. Pas du tout. Nan. Je le regardait toujours pendant un moment lorsqu'un grondement de tonerre me fis tressaillir.

L'orage s'annonçait, en même temps que la nuit. Un abris ? J'y avais songer mais, dans la plaine qui s'étendait devant moi, aucun refuge n'était visible. Alors, selement je me dis que j'allais finir sous la pluie, ces larmes cristallines qui tombent des nuages tel les pleurs des Dieux. Pourquoi pleuraient-ils ? Je ne sais pas. Peutêtre car un animal est mort sur les champs de batailles, peutêtre parce qu'un petit est mort né. Je ne sais pas et je ne saurais jamais. Déjà, les gouttes de pluie tombaient, froides. Je me levai rapidement et jetai un dernier regard à l'oiseau avant de descendre de la Butte des Titans. Puis, je me mis à trotter, échauffant mes muscles pour me procurer un peu de chaleur. Un éclaire déchira le ciel, accompagné du tonerre. Je n'avais pas peur, non. Je devrais ? La foudre est dangeureuse mais, je savais l'évitée. Je m'inquiétait plutôt pour l'oiseau, lui, si fragile, aurait vite fait de se faire éléctrocuté. Quand enfin je trouvai un arbre pour m'abbritter, j'était trempé. Après m'être couché je remarquai que le corbeau m'avais suivis. C'est alors que je pris la parole :

_Qui es-tu ?
Le vent dans mes crins... [Libre] EmptySam 17 Avr - 5:14
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Kywin [Chronos]

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Sujet: Re: Le vent dans mes crins... [Libre]   

    Mon regard croisa celui de l'étalon, les ténèbres contre les ténèbres. Nous avons tous les deux les yeux noirs, mais les siens sont plus accentués par la couleur plus claire de sa robe, alors que les miens se perdent dans l'obscurité de mes plumes. Ton regard est presque insolent, étalon. C'est un regard de défi. Je ne te fais pas peur, tu n'es pas comme tous ces écervelés qui craignent les mauvais présages que je suis censé apporter. Tu as bien raison, la seule présence d'un corbeau n'a jamais apporté d'ennuis à qui que ce soit. En revanche, notre volonté... c'est autre chose. Je suis un oiseau de mauvais augure, dans le sens où je m'arrange toujours pour causer des problèmes à ceux qui croisent ma route, lorsque j'en ai envie. Juste par caprice. J'ai déjà tué, comme ça, tu sais. Guidant un cheval vers un groupe de loups ou vice-versa, ou le poussant vers un précipice. Juste par caprice, là encore. Ta vie n'est rien à mes yeux, tu n'es qu'un marcheur, quelqu'un qui, privé d'ailes, ne pourra jamais voler. Je te méprise et en même temps je te plains.

    Le grondement du tonnerre te fit tressaillir. Je ne te quittai pas des yeux, mais m'avançais un peu au-dessus de toi - à quelques mètres - car je ne suis pas très doué pour faire du vol stationnaire. Cela me demande beaucoup d'énergie. Au-dessus de moi, je sens le ciel qui s'énerve. Bientôt la pluie va tomber. Il faudra que je me trouve un abri où me poser, car je ne peux voler lorsque mes plumes sont trop gorgées d'eau. Un peu, ça va, mais là ça va être le grand déchaînement... Je m'élève encore un peu et aperçois un arbre non loin de là. Toi, tu cherches aussi un abri. Je sais que je vais aller là-bas, mais où iras-tu ? Tu ne peux pas voir cette protection contre la pluie, là au loin. Il n'y en a pas beaucoup d'autres alentours, tu pourrais errer longtemps avant de tomber dessus. Tu te lèves, tu descends de la Butte des Titans, au trot. La lumière de la foudre éclate dans le lointain. Les nuages au-dessus de nous ne sont pas gorgés d'électricité, nous n'avons rien à craindre pour le moment. Et je ne pense pas que les éclairs vont nous atteindre. Sinon, je ne choisirais pas un arbre pour m'en protéger : c'est le meilleur moyen de se faire foudroyer. Mais tu es chanceux, étalon : sans même le savoir tu te diriges tout droit vers cet arbre. Je te suis, silencieux comme une ombre, et guère plus que cela si je regarde au sol. La pluie se mit à tomber. En quelques battements d'ailes, je pris de la vitesse : plus question de flâner par curiosité, je devais aller mettre mon plumage noir au sec. Je dépassais donc l'étalon - qui ne s'en est sans doute pas aperçu, je suis trop haut et il fait trop sombre : je ne me détache guère du ciel noir. Je me réfugiais sous les feuilles, choisissant rapidement l'endroit le plus étanche. Je me posais avec élégance, mes 160 centimètres d'envergure déployés. J'enfonçais mes griffes dans le bois, le faisant un peu craquer. Puis je repliais mes ailes noires, comptant sur mon duvet pour me tenir au chaud, et attendis que se passe la tristesse des cieux.

    Tu arrives. Guidé sans doute par un instinct chevalin, tu as trouvé l'un des rares abris en ces lieux. Tu te couches. Tu es bien confiant, mais il faut dire qu'on peut voir loin ici, très loin... Il n'empêche que je ne m'autoriserai jamais ce genre de relâchement. Pas si je veux survivre. D'un seul coup de sabot, ou même d'un coup de tête tu pourrais me tuer.. tu es puissant, mais je te suis inaccessible. Enfin tu me remarques, et tu m'adresses la parole.

      « Qui es-tu ?» me demandes-tu.

    Je suis beaucoup de choses, mais très peu à la fois, juste une infime partie de cet immense univers mais aussi celui qui est responsable de tant de vies, de tant d'autres oiseaux qui comptent plus ou moins sur moi pour leur bien-être.

      « Je suis Chronos. » répondis-je.

    Moi, réduis à ma plus simple identité : mon nom. Tout ce que je suis, contenu en un seul mot, qui ne sera pourtant jamais assez pour me décrire. L'éternel paradoxe : tout et rien, beaucoup et très peu.

      « Et toi ? » questionnais-je.

    Peut-être que je te connais. Je connais beaucoup de monde, car je voyage beaucoup, et car je suis très intéressé par les autres - dans le but de leur jouer des tours. C'est également ainsi que l'on me connaît, Chronos, l'éternel enquiquineur, l'empêcheur de tourner en rond, celui qui n'aime rien tant que taper sur les nerfs des autres, et qui, la plupart du temps, y arrive très bien.
Le vent dans mes crins... [Libre] EmptySam 17 Avr - 21:38
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Sujet: Re: Le vent dans mes crins... [Libre]   

La pluie tombait maintenant fort, tel des cordes. L'oiseau, perché tout là haut, me regardait de ses yeux noirs. Bah, de toutes façon, il est trop haut. Je le regardait aussi, impatient de voir ce qu'il allait me répondre. Au loin, le tonerre gronda encore une fois. La pluie redoubla d'intensité et je sentis que le feuillage de l'arbre n'allait pas nous protègés longtemps, l'oiseau et moi. Puis, enfin, le piaf noir se dit qu'il fallait ouvrir le bec. Il me répondis de sa voix de corbeau :

«Je suis Chronos.»

Chronos ? Connais pas. Tempis, c'est un oiseau comme les autre ? Ou pas... Il avait cet air important qu'on les oiseau "spéciaux", important. Mais, tant que je ne le connaissait pas, je ne le jugerais pas. Puis, comme curieux de me connaître il lança :

«Et toi ?»

Moi ? Il ne savait pas voir ? Je suis un cheval, comme les autres ? Nan, un étalon et séducteur en plus. Bref, je pense qu'il me demandait plutôt mon nom. Que voulait-il faire avec mon nom ? Rien ? Hé bien, pourquoi me le demandait-il ? Je réfléchis un instant et lui répondit, fière de mon nom :

_Je suis Angel of Heaven. Etalon. Pourquoi veux-tu le savoir ?

Une question de plus ou de moins n'allais pas le tuer mais, rapidement, je tourna mon regard vers le lointain, repenssant à mes proches disparuts. Puis je vis la Butte des Titans éclairée par un immense éclaire ayant éclater dans le lointain. Butte Terrifiante ? Pas telement. Pas pour moi. Puis je regardai de nouveau l'oiseau perché.
Le vent dans mes crins... [Libre] EmptySam 17 Avr - 23:30
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Kywin [Chronos]

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Sujet: Re: Le vent dans mes crins... [Libre]   

    La pluie redoubla d'intensité. Encore. J'entendais l'eau frapper les feuilles comme des grêlons. C'était un martèlement sourd, continu, qui, s'il ne risquait pas de déchirer les feuilles comme l'auraient fait des grêlons, allait finir par les détremper... et moi avec. L'étalon ne comptait pas, il était déjà tout mouillé. Mais si mon plumage était un peu humide, il n'était pas gorgé d'eau, chose que je craignais véritablement. Car je serais bloqué ici jusqu'à ce que mes plumes sèchent un peu, ensuite.

      « Je suis Angel of Heaven. Etalon. Pourquoi veux-tu le savoir ? »

    Ta voix, là, en-dessous de moi. Tu es la seule véritable distraction qui existe sur et autour de cet arbre isolé. Angel of Heaven... C'est un nom long, trop long sans doute, mais parfait pour un surnommeur maniaque tel que moi. J'aime donner des surnoms, si possibles disgracieux ou énervants pour leur porteur. Mais je ne te connais pas, et je ne sais pas vraiment encore ce qui peut te mettre en colère. Aussi ne vais-je pas chercher très loin. Ce n'est pas très original, mais je ferais mieux, plus tard.

      « Heavy, donc. Pourquoi je veux le savoir ? Parce que l'information est la meilleure des armes et des boucliers que possèdent les oiseaux. »

    Ce qui d'ailleurs n'est un secret pour personne. Nous ne pouvons lutter à armes égales avec des mammifères qui font plusieurs dizaines de fois notre poids. En combat, nous pouvons être compétents mais si on veut vraiment être efficace, on est obligé d'être à plusieurs... et même là on recense des lourdes pertes. Un coup de mâchoires ou de sabots, et c'est la mort. Comment voulez-vous lutter dans ces conditions ? Notre seule manière de nous défendre efficacement - de défendre nos intérêts - c'est l'information, la connaissance. Et là, nous sommes les meilleurs. Peu de choses échappent à notre regard, nous sommes partout et nous sommes hors d'atteinte. Nous voyons, entendons, sentons, et nous pouvons rapidement mettre en commun. Peu de choses se passent sans qu'au moins un d'entre nous ne l'ai vu. Et donc sans qu'on soit au courant. L'information : là est notre meilleur outil, notre meilleur avantage. Connaître ceux qui foulent cette terre en fait partie et je suis toujours ravi d'ajouter de nouvelles cibles à mon répertoire... Bienvenue au club, Heavy. Tiens ! Je viens de te trouver un nouveau surnom. Peut-être l'aimeras-tu, peut-être pas.
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Sujet: Re: Le vent dans mes crins... [Libre]   

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